Les Micros-Trottoirs de Marie-Caroline, série 1 à 10

1-Le coronavirus? Les gens sont contre! C'est très net.

2- Ce n'est pas facile le commerce avec le confinement

3- Confinement: les gens ne sont pas contents

4- Dans les cités

5- En Lozère

6- Dans le Grand-Est

7- Un micro-trottoir virtuel

8- En Corse, on désinfecte par le feu

9- Des masques à la plage 

10- Résilience Française

2- Ce n'est pas facile le commerce avec le confinement

Alors, Marie-Caroline, le confinement, ils vous disent quoi les gens confinés?

Marie-Caroline: Alors, Assia, les gens confinés restent souvent chez eux. Mais, quand même on arrive à en trouver dans les rues! et; ceux-là, ils ne sont pas chiches de leurs opinions.

Justement, Voici Diégo! Il a monté un petit commerce de masques qu’il a fait venir des hôpitaux de Venise. Après le Carnaval.

Marie-Caroline: "Alors, Diégo, ce n’est pas trop difficile le confinement ?"
Diégo: "Alors, là non, c’est pas commode. On vend mal les masques. Il faut aller chez les gens. En plus on n’a pas la carte visa. Alors, s’ils veulent pas payer en cash, on leur dit qu'on va tousser, ça calme".
Non, vraiment, pour le commerce, le confinement c’est pas terrible.

Marie-Caroline: "Voilà Assia. Ils le disent tous : pour le commerce, le confinement c’est pas terrible.
Je vous rends l’antenne".

Les micro-trottoirs de Marie-Caroline 6

 

Dans le Grand-Est

 

 

Massounia : Chers téléspectateurs, nous allons rejoindre Marie-Caroline pour notre désormais habituel micro-trottoir grâce auquel nous pouvons aller au plus près des « fam zé dézom» de la France profonde. Nous avons la conviction qu’il faut, au-delà, de ceux qui savent, aller interroger ceux qui ne savent pas. Ils ont, nous en avons la certitude, toujours quelque chose à nous apprendre.

Massounia : Marie-Caroline, vous êtes dans une petite ville du Grand-Est, nous n’en dévoileront pas le nom car, il n’est pas dans notre politique de déclencher des réactions de peur ou d'angoisse. Vous allez nous faire toucher du doigt comment tout se passe dans ce coin de France, si terriblement éprouvé. C’est à vous Marie-Caroline.

Marie-Caroline ( elle est en train de tousser derrière son masque « grand public ») : Bonjour, Massounia, alors, comme vous venez de le dire, je suis dans une région qui a été dévastée par le Corona-virus.

Massousnia : C’est terrible, mais on sait combien la résilience est puissante et forte parmi ses habitants.

Marie-Caroline ( elle est un peu essoufflée d’avoir beaucoup toussé) : Tout à fait. On dit qu’un homme averti en vaut deux.

Massounia : Vieux proverbe français…

Marie-Caroline (elle tousse, mais moins fort qu’au début) : du coup, c’est heureux ! Cela a permis de compenser les décès qui ont touchés 50% de la population…. (Elle a une quinte de toux sèche qui l’empêche de continuer)

Massounia : Marie-Caroline, vous ne devez pas trop vous exposer. Pensez-à vous comme nous le recommandons à tous nos auditeurs. Nous reprenons l’antenne Marie-Caroline.
 

 

Le micro-trottoir de Marie-Caroline 7- Un micro-trottoir virtuel

Messania : Il est temps que nous passions maintenant l’antenne à Marie-Caroline. Je dois cependant prévenir nos téléspectateurs, ils ne devront pas s’étonner. Marie-Caroline est partie se reposer un peu. Ces dernières semaines d’interview ont été éprouvantes. Elle toussait et avait de la température. Il fallait diminuer la pression. Pourtant, nous passerons le micro à Marie-Caroline. "Ah ! ah !" allez-vous faire, "encore une petite blague de la rédaction". Pas du tout ! Vous verrez par vous-mêmes. Marie-Caroline est blonde comme les blés, la nouvelle est brune comme un caramel. Elles sont toutes les deux Marie-Caroline, ainsi, nos chers téléspectateurs, ne seront pas désorientés et pourront suivre sans trouble le déroulé de notre micro-trottoir.

Messania : Marie-Caroline, c’est à vous, nous vous passons l’antenne.

Marie-Caroline 2 : Alors, c’est un moment d’émotion pour moi. Avec l’équipe, nous ferons de notre mieux et  nous produirons avec la même conscience et la même exigence les micro-trottoirs que vous aimez

Messania : Nous en sommes convaincus Marie Caroline… mais que sont tous ces écrans, autour de vous, certains par terre, d’autres montés sur des pieds de caméra.

Marie-Caroline : Voilà ! vous avez bien vu ! On ne peut pas, toujours, à cause du confinement, rencontrer beaucoup de gens dans la rue. Alors on est allé à leur rencontre virtuelle. Chacun de ceux qu’on a rencontré a laissé un écran.

Messania : Un peu comme le petit poucet

Marie-Caroline : Tout à fait. Et maintenant, nous allons les interviewer. Ils nous répondront sur le confinement. Nous serons protégés. Eux aussi…

Messania : C’est vrai, nos téléspectateurs le savent aussi : on n’a pas la preuve scientifique que le corona-virus passe au travers des écrans.
Je reprends l’antenne Marie-Caroline et dites nos remerciements à tous les écrans qui vous entourent

 

Le Micro-trottoir de Marie-Caroline 8      En Corse, on désinfecte par le feu

Massania : il faut savoir aller au plus près de l’information. Là où les vraies forces vitales de la société s’expriment. Nous le devons à nos téléspectateurs qui savent à quel point nous sommes intransigeants sur la qualité de l’information et de sa pertinence.
Aujourd’hui, c’est en Corse que nous nous trouvons avec notre chère Marie-Caroline retour d’un court séjour pour se remettre d’un petit malaise. Vous ne toussez plus Marie-Caroline ?


Marie-Caroline : un peu faible encore mais fidèle à notre auditoire.

Massania : Nous n’attendions pas moins de votre part Marie-Caroline. Vous êtes en Corse. La nuit tombe. Vous êtes à l’orée d’un village très typique de l’Ile de Beauté. Vous nous direz ce que pensent nos amis corses du déconfinement décidé par le Premier Ministre. Mais avant tout, je vois derrière vous des lueurs d’incendie. Les forêts continuent à brûler en Corse ?

Marie-Caroline : Non! ce ne sont pas des feux de forêts.

Massania : Mais alors qu’est-ce ? Il semble que ces lueurs se font plus intenses !

Marie-Caroline : Là, je crois qu’il faut que je passe le micro à un de nos témoins, il pourra nous parler de ces lueurs et aussi, en même temps, du déconfinement.

Massania : Je ne vois pas le rapport mais puisqu’il est là, allez-y, qu’il nous parle du déconfinement

Dominique ( avec un très fort accent de berger corse): Le déconfinement, ça fait que les parisiens y rentrent chez eux.

Massania : Mais encore ?

Dominique : Les parisiens y rentrent chez eux mais y laissent leurs saletés derrière, dans leurs villas et leurs baraques de luxe.

Massania : Saletés ?

Dominique : Le virus, c’est une saleté.

Massania : En effet, c’est…

Dominique la coupe, (nerveux) : C’est une vraie saleté. Ils auraient pu la rembarquer avec eux au lieu de la laisser en Corse.

Massania : Surement mais…

Dominique  (violent) : Y a pas de mais, y a qu’ils ont laissé leur saloperie et nous y faut qu’on se tape le nettoyage

Massania : Eh bien ?

Dominique : Eh bien ? Eh bien ? Vous avez des lenteurs à comprendre. Eh bien, on nettoie. A la Corse. On fait le travail comme il faut.

Massania (tente un ton léger) : Et comment on fait le travail en Corse ?

Dominique : On brûle les villas. Comme ça, le virus il est cramé et nous on ne risque plus rien.

L’antenne est coupée.

 

Le Micro-Trottoir de Marie-Caroline.10

 

Résilience française
 

 
Mélissa : Nos téléspectateurs l’adorent. Ils l’attendent. Ils s’impatientent même. C’est l’heure du Micro-trottoir de Marie-Caroline. Ils ne le rateraient pas pour un empire.
Allo, Marie-Caroline, que nous avez-vous réservé pour aujourd’hui ?

 
Marie-Caroline
 : Alors voilà, c’est pour montrer que la France a des forces vives. Jamais abattues. Prêtes à changer, s’il le faut. Pour faire que demain ne sera pas comme aujourd’hui !
 

Mélissa : Beau programme ! Vite, dites-nous !
 

Marie-Caroline : Il fait très beau. Avec le soleil, même les cités rayonnent. Et pourtant, il n’y a pas d’oueds ni de palmeraies !
 

Mélissa : Vous nous faites rêver Marie-Caroline! Et vos témoins ? Que nous disent-ils ?
 

Marie-Caroline : Alors là, je suis avec xxx*. Il a installé un étal devant son petit bistroquet. Il vend de la bière à emporter. Au verre.
 

Mélissa : Preuve en effet que nos entrepreneurs n’ont pas les pieds dans la même babouche. Belle leçon de résilience française donnée au monde. Mais, Marie-Caroline, je suis impatient d’entendre le témoin : à côté des verres, il y a de petits sachets, blancs, mais aussi, il y a des bruns ! et puis des bâtons de réglisse ?
 

Marie-Caroline : XXX* va nous en parler, justement.
 

XXX** : Alors là, va pas chercher la pt’ite bête, ma sœur, passe que les frères, y te montreront la grosse. (il hoquète de rire). Ske tu vois, ma sœur, si pour le bonheur, le rêve…
 
(il s’interrompt : son regard fait un 360 degrés)
 

XXX* : Tu filmes pas trop, ma soeur! C’est nouveau. Demain y sra pas pareil qu’yer. Là c’est plus l’économie souterraine. C’est l’économie parallèle. On a changé. Pu rien sera pareil. Sauf un truc. Quand tu dis à la meuf dse kacer. Al skace!!! Alors, tu t’kace.
 

Marie-Caroline : Je vous rends l’antenne Mélissa.


*(pour des raisons de RGDS et de confidentialité et PSDV nous ne pouvons livrer les noms en clairs ni même des pseudonymes genre « récidive », « sursis », « libé.condi.»). 
** retranscription brute. Cependant, certaines formules syntaxiques soudano-pakistanaises n’ont pas été reprises dans leur intégralité.

 

1-Le coronavirus? Les gens sont contre! C'est très net.



Alors, Marie-Caroline, qu’est-ce qu’ils disent les gens autour de vous au sujet du coronavirus ?
C’est très clair, Anissa, Ils sont contre !
Vraiment contre ?
Vraiment, d’ailleurs, Diégo, qui est là, à côté de moi, peut en témoigner…
Allo, allo, Marie-Caroline on ne vous entend plus …allo, allo…
Ce n’est pas grave, le témoignage de Diégo est clair. Les manifestants sont massivement opposés au coronavirus.

 

3- Confinement: les gens ne sont pas contents

Melissa : Ce n'est pas très gai autour de vous, n’est-ce pas Marie-Caroline ?
Marie-Caroline : Mais oui, Melissa, on sent bien que les gens ne sont pas contents.
Mélissa : C’est ce qui expliquerait la montée des mécontentements ?
Marie-Caroline : Bien sûr Melissa. Quand on interroge les gens dans la rue (et, en ces journées ensoleillées, ils sont nombreux à se presser dans les rues et les parcs) quand on leur pose la question, ils le disent : ils sont très mécontents.
Mélissa : Ils peuvent le manifester avec le confinement?…
Marie-Caroline : C’est juste, ils ne peuvent pas manifester. Et puis, aujourd’hui, on ne peut pas le leur reprocher, il fait vraiment très beau.
Mélissa : mais qu’est-ce qu’ils font s’ils ne peuvent pas manifester?
Marie-Caroline : A côté de moi, il y a Diégo. Je vais lui passer la parole. Il va dire ce qu’ils font avec le mécontentement.
Mélissa: Bonjour Diégo
Diégo : Bonjour Mélissa. Alors je vais dire ce qu’on fait avec le mécontentement. On dépose des plaintes. Des dizaines de plaintes. Avec des copains médecins mécontents. Avec des copains avocats. Il y a aussi Mélenchon, très mécontent. Et Martinez, qui n'est pas content du tout. Il va lancer des grèves en Avril. Tout ça, c'est anti-social. On le dit tous ici : il faudra faire les comptes.
Mélissa : Merci Diégo! merci pour ce témoignage sur le mécontentement.

Micro-Trottoir de Marie-Caroline.4           Dans les cités

 

Mélina : Nous allons retrouver Marie-Caroline dans une cité, une de celles qui ont fait l’objet de remarques déplacées d’un député dont nous ne rappellerons pas le nom. Dans cette cité, respecte-t-on les règles du confinement ? Marie-Caroline, nous attend là-bas. Nous allons lui donner l’antenne. C’est à vous Marie-Caroline.

 

Marie-Caroline : Oui Mélina! Ces accusations sont bien légères tout en étant très graves.

 

Mélina : Jolie formule Marie-Caroline. Vraiment.

 

Marie-Caroline : Merci Melina. Donc, elles sont légères ces accusations, je n’en veux pour preuve que ce que me disent tous ceux qui sont autour de moi et qui tiennent à vous dire le bonjour.

 

Mélina : C’est bien que, dans ces moments difficiles, les jeunes et les moins jeunes n’hésitent pas à témoigner et sachent se rassembler autour des journalistes.

 

Marie-Caroline : Et à s’entre-aider. Diégo, qui est à côté de moi, a un masque que portait Melik. Il le lui a spontanément passé pour qu’il puisse parler sans risque.

 

Mélina : Marie-Caroline, vous avez un masque vous aussi !

 

Marie-Caroline : En effet ! C’est Jules qui est derrière moi qui me l’a donné. Enfin, pas donné. Parce que c’est son frère qui le lui a prêté. Je dois le rendre à la fin du micro-trottoir.

 

Mélina : Avec ces masques, on voit bien que les gestes barrières sont là, pour le confinement. C’est une belle réponse aux allusions déplacées de certains.

 

Marie-Caroline : En effet ! (elle tousse un peu). Le civisme n’est pas l’apanage de certains. Je vous rends l’antenne, Mélina, et je rends mon masque à qui de droit (elle tousse à nouveau).

 

Le micro-trottoir de Marie-Caroline. 5

 

en Lozère

 

Mélissa : Nous allons maintenant passer l’antenne à Marie-Caroline qui va nous dire comment, à côté d’elle, mais à des distances convenables pour respecter les barrières, les gens, les gens d’en bas, comme certains disent, ceux qu’on ne voit jamais dans les émissions, ces gens qui, pourtant, sont ceux-là sans lesquels nous ne serions pas grand-chose, mais nous ne nous en apercevons que trop rarement et, justement, en ces moments de crise qui nous rappellent que dépendant des uns des autres, nous devrions nous soucier de cette grande communauté de femme-zé-dh’ommes que nous formons, nous tous que nous soyons grands ou que nous soyons petits, comme le disait fort justement notre grand Lamartine.
Marie-Caroline, vous nous entendez ?


Marie-Caroline : je vous entends Mélissa, alors, justement je voulais vous dire…

Mélissa : un instant Marie-Caroline, restez en ligne, il faut dire quelques mots à nos téléspectateurs sur vos investigations, là, aujourd’hui, celle dont vous allez nous livrer les émotions et peut-être aussi les colères. Nous, à la rédaction, vous, chers téléspectateurs, qui nous suivez fidèlement depuis si longtemps, avons remarqué que si nous envoyons nos micro-trottoirs dans les cités, les banlieues et même les quartiers chics, cela n’est pas vrai des campagnes, des petits bourgs et aussi des villages. Or, on peut rencontrer des gens qui ont quelque chose à nous dire à tous et qui mérite d’être entendu. Il y aussi des Diégo, des Mélik  et, parfois, des Soudanais, là-bas, un peu partout en France, qu'on ne voit pas autant qu'on le devrait. Notre mission n’est pas de réserver un droit de parole à quelques-uns. Bien au contraire, tous doivent pouvoir dire les choses et dire aussi leurs colères. La colère, elle est partout. Pas que dans les cités.

C’est pourquoi, et je prie mes auditeurs de pardonner ce long prologue, mais ils savent bien que c’est là une question d’éthique journalistique et qu’on ne peut pas transiger avec, ils nous le reprocheraient, c’est pourquoi, disais-je, nous avons décidé d’envoyer Marie-Caroline dans une de nos belles provinces afin d’écouter ce qui doit être dit sur le confinement et les douleurs psychologiques qui l’accompagnent.

Marie-Caroline, est donc, là, sur une route de Lozère et elle va interroger, à des distances « barrières » s’entend, quelques témoins. C’est à vous Marie-Caroline.


Mélissa ( à nouveau): nous voyons le magnifique paysage et cette belle campagne que vous nous montrez, Marie-Caroline, mais je pense qu’il est temps pour nos téléspectateurs d’entendre les témoins et leurs témoignages.

Marie-Caroline ! On ne vous entend pas bien.


Marie-Caroline : Il est parti.

 

Mélissa : Qui est parti ?


Marie-caroline : le témoin.

 

Mélissa : Vous vous moquez Marie-Caroline. Il est bien d’autres témoins pour dire leurs colères et témoigner de leur mal-être.


Marie-Caroline : Il n’y en avait qu’un seul, et il est parti.

 

Mélissa : Marie-Caroline, ce n’est pas possible. Au moins, vous avez Diégo !

 

Marie-Caroline : Diégo ça le gonflait la Lozère. ça ne l'intéressait pas de dire la colère en Lozère. Il est pas là. D’ailleurs, en Lozère, y a pas de confinés. Y a personne en Lozère.

 

Mélissa : On coupe, Marie-Caroline. …

Le Micro-Trottoir de Marie Caroline.9


Des masques à la plage 

 

Maloucha : un grand salut à nos téléspectateurs à qui nous proposons un Micro-plage ! Marie-Caroline est partie à la rencontre de témoins du déconfinement. Elle a choisi une plage de Bretagne.

En maillot rayé bleu et blanc, vous faites vacancière Marie-Caroline ! On vous passe l’antenne !


Marie-Caroline : Merci ! Je suis avec Clara et son petit garçon Kevin. Comme vous le voyez, il est actif !

Clara : A la maison, il commençait à …

Kevin (hurlant de joie) : Maman, regarde, j’ai trouvé un corona.

Clara (patiente) : On ne dit plus corona mais covid. Et ça, c’est un petit crabe.

Marie-Caroline (enjouée) : Il est malin ! Il pourrait bien nous en rapporter un de covid ?

Clara fait un sourire fatigué.


Marie-Caroline (rieuse) : Tiens, le revoilà ! Alors tu as ramassé un covid ? Montre-le à la caméra ; Il ressemble à une étoile de mer ton covid !

Clara a un sourire crispé. Kevin repart et revient avec un drôle de truc sur le visage.


Kevin (en pleurs, hurlant) : Maman, mon masque… il pique

Clara, (hurlant) : Mon dieu! chéri! C’est pas un masque, c’est une méduse.

Marie-Caroline (empêtrée dans des morceaux de méduse): Malocha, je vous rends l’antenne….


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