Gleizes et Metzinger, le "Cubisme"

Editions Herman

 

14           Pour évaluer l’importance du Cubisme, il faut remonter à Gustave Courbet…mais, il accepta sans nul contrôle intellectuel tout ce que sa rétine lui communiquait. Il ne soupçonna pas que le monde visible ne devient le monde réel que par l’opération de la pensée, et que les objets qui nous frappent avec le plus de force ne sont pas toujours ceux dont l’existence est la plus riche en vérités plastiques »


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15           L’art des impressionnistes comporte un non-sens : par la diversité de la couleur il tâche à créer de la vie, et il propage un dessin veule et nul.

             

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15           La seule erreur possible en art c’est l’imitation.


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16      Beaucoup estiment que les préoccupations décoratives doivent gouverner l’esprit des peintres nouveaux. Sans doute ignorent-ils les signes flagrants qui de l’œuvre décorative font le contraire du tableau. … essentiellement dépendante, nécessairement partielle, elle doit satisfaire, dés l’abord, l’esprit pour ne par le distraire du spectacle qui la justifie en la complétant. C’est un organe.

Le tableau porte en sa raison d’être. On peut impunément le porter d’une église, dans un salon, d’un musée dans une chambre…il ne s’accorde pas à tel ou tel ensemble, il s’accorde à l’ensemble des choses, à l’univers : c’est un organisme.  

              

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19           Que le tableau n’imite en rien et qu’il présente nûment sa raison d’être. 

         

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24         Selon eux (les Cubistes), éclairer c’est révéler : colorer c’est spécifier le mode de révélation. Ils appellent lumineux ce qui frappe l’esprit et obscure ce dans quoi l’esprit est obligé de pénétrer.


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27          Parmi les peintres académiques peut-être s’en trouve-t-il de bien doués, comment le savoir ?leur peinture est tellement véridique qu’elle sombre dans la vérité, dans cette vérité négative, mère es morales et toutes choses insipides, qui, juste pour tous, est fausse pour chacun.


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30           Nous écartons les notions de bon goût et de mauvais goût qui ne répondent à rien de positif : une faculté n’est ni bonne ni mauvaise, elle est plus ou moins développée.



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30           Au sauvage qu’émerveillent les verroteries nous prêterons un goût rudimentaire, mais nous aurions mille fois raison d’assimiler au sauvage le prétendu civilisé qui n’apprécierait par exemple que la peinture italienne ou que les meubles Louis XV.         


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31           Quoi de plus évident que l’influence de la volonté sur nos sens ?


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32           Que la fin ultime de la peinture soit de toucher la foule, nous en avons convenu, mais ce n’est pas dans la langue de la foule que la peinture doit s’adresser à la foule.           

 

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