Un americano à Certosa di Pavia

Premier jour en Italie, Août 2011. 

 

Un petit texte qui commence l'histoire d'un quiproquo... et quelques images aussi.

 

 

extrait de "un americano à Certosa" 

 

(...).Il fait chaud, doucement, en tout début du mois d’août, une fin de journée, la lumière est belle, elle fait vibrer les rizières tout autour. Vert foncé et vert soutenu. Lignes d’arbres presque noirs. J’aime ces alignements et la noirceur des troncs et celles des feuilles et leur façon de rythmer les perspectives. Nous revenons de la Certosa. Celle de Pavie, « la Certosa di Pavia », qui resplendit de ses pierres sculptées en dentelles. Personne pour visiter la chartreuse. Ou si peu ! Promenade rêveuse. Nous revenons vers notre hôtel, lentement, accrochant nos regards à tous les signes qui nous disent que l’Italie est là, à toutes les couleurs qui nous parlent d’une autre lumière, celle de la plaine du Pô. Il est encore tôt pour dîner. Il est trop tard pour visiter. Aller à Pavie. Pour méditer sur le rêve italien des rois de France ? C’est assez de la voiture et de la route. Tant pis pour Pavie. Il vaut mieux s’asseoir et bavarder.


Un café en lisière du village, quelques chaises en plastique, une terrasse qui donne directement sur la rue, peu fréquentée à ce moment, qui conduit vers la « Certosa ». Les rizières encore visibles, tâches vert dur sous le soleil déclinant. Chercher un autre café, une autre terrasse ? Il n’y a pas tant de choix. Tant mieux ! Il faut laisser ce moment décider à notre place. Oublions, un instant les plans, les délais, les moyennes, les kilomètres faits, ceux qui restent à faire. Le café fait terriblement, petite bourgade. Tant mieux ! Nous sommes en Italie. Même une chaise en plastique paraît accueillante. Même une nappe en toile cirée jurant de couleurs impossibles se mue en sourire. Nous sommes arrivés en Italie et nous avons été accueillis par la Certosa . Un moment de grâce architecturale. Alors, les chaises en plastique, la toile cirée…

 

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