Edith Stein. Lumière et transparence de Maryse Wolinski et Géraldine Danon

Chronique de la pièce de théâtre sur la vie et la foi d'Edith Stein (Edith S.) juive convertie au catholicisme, carmélite, déportée et gazée à Auschwitz, canonisée par Jean-Paul II.

Dans une œuvre d’art, il y a toujours une ambiguïté. Qu’elle prétende traquer le naturel pour le dire dans toute sa plénitude de nature et voilà qu’il s’enfuit et que tout paraît inventé. Qu’elle prétende à l’autonomie de l’art et le naturel revient au galop. Et le pire advient au théâtre quand le jeu de l’acteur joue le texte et le transporte dans l’un des deux univers. Lire la chronique dans Kriticks.

Thaddeus Ropac:Empire State. New York Art Now. 1ère partie

Thaddeus Ropac:Empire State. New York Art Now. 2ème partie



Empire State. New York Art Now

On a déjà dit à quel point le pari de cette galerie autrichienne est impressionnant. Installer un lieu, gigantesque, par comparaison avec les lieux « parisiens », dans la banlieue (proche), à Pantin (loin des transports en commun) est, ou bien provocateur, ou bien en harmonie avec ce que veut M. Thaddeus Ropac, avec sa conception de l’art et surtout de l’art qui est en cours, qui se fait, va se faire ou vient de se faire. Il faut y aller. Il faut la chercher (pas trop difficile, il y a parfois un petit panneau fléché) et tomber sur un univers refermé sur lui-même.

Lire dans Kriticks.

 

Tout ce long exposé pour dire que c’est exactement ce que j’ai vu de cet accrochage. Des artistes, qui m’ont estomaqué. Des projets que j’ai trouvés un peu fous. Des œuvres, dont certaines étaient encore classiques ou qui débordaient des cadres dans lesquels elles avaient été installées, temporairement, le temps que la créativité de leur auteur fasse tout sauter ! Ici, Thaddeus Ropac, met en scène la création à New York. Haut lieu de la création ? Je ne sais pas. Il y a tant de chinois passionnants. Tant d’Allemands qui ont encore tant à dire. Peu importe finalement. Les artistes sont new-yorkais, de toutes origines, de toutes races, de toutes formations ou méthodes, ou processus de création. Lire dans Kriticks

 


Promenade 26, Photo-boxe avenue Matignon

Promenade avenue Matignon et rencontre avec Richard Aujard.

 

Au hasard, encore ! Avenue Matignon. Il fait beau. Frais. Des rayons de soleil. L’avenue Matignon clignote et brille. Des devantures avec des tableaux de maître. Des cimaises qu’on devine ployant sous des centaines de milliers d’euros. C’est inégal, les galeries avenue Matignon. Des Galeries « marchandes » (sans jeu de mot) à côté de galerie « clin d’œil » «  ou œillade », qui veulent attraper le « coup de cœur » quand il est encore chaud. C’est une avenue à portefeuilles remplis. On y voit des résidents et des non-résidents (fiscaux) dégainer leurs carnets de chèques et mitrailler. Les grands hôtels ne sont pas loin. Qu’est-ce qu’on aimera rapporter aux States ou à Djeddah ? un Dubuffet pas trop mal enlevé et coloré. Pas trop grimaçant. Plutôt côté « hourloupe ». Ou du Picasso. Ou du Buffet ? Une galerie a choisi cette spécialisation. Si on regarde bien, elle a aussi des vrais Buffet. Ceux qui avaient du coffre !!! Quand il était jeune. Avenue Matignon, on trouve même ce qui fait le charme du Quai Voltaire. Des choses anciennes. Des cartels et des meubles « signés ». On trouve de tout Avenue Matignon. Pour tous les goûts. Et même de l’art contemporain. Et même des photos.

Au hasard ?

Au hasard, j’ai rencontré le travail de Richard Aujard. Au début, depuis la rue, regardant au travers de la vitrine, je n’ai pas eu envie d’entrer. De la photo genre Avenue Matignon. C’est ce que je me suis dit. Des motos. De grandes photos avec des filles en cuir sur des bikes. Des vrais. Harley bien sûr !!! Les filles comme on les imagine sur des Bikes. Les tirages argentiques, les contrastes noir et blanc, les motos qui rutilent, les filles en cuir noir, le ciel chauffé à blanc. Les seins qui se retiennent de sortir. Bon. Agenda Pirelli au mieux. Et puis, était-ce le sentiment que l’exposition offrait à voir des tirages argentiques ? Ou bien, je venais de me souvenir d’une invitation à vernissage sous la forme d’une photo de biker sur une route poussiéreuse. Une belle photo, argentique. Où le grain de la photo vient mettre en valeur la poussière qui vole et le soleil qui tape. Je ne sais pas, mais ce qui est sûr est que je suis rentré et j’ai suis allé de photos en photos et de surprises en bonnes surprises.

Photo coup de poing ? Qualificatif banal pour un amateur de la photo de boxe, de boxeurs et de ring. Très belle photo de boxeurs au pesage, et de gamins qui prennent la pose des boxeurs avec, derrière eux, en fond, comme les lignes grossies d’un cahier d’école. La photo de biker sur une route poussiéreuse était bien là. Belle photo  de Mickey Rourke au Brésil sur une Harley (what else ?). Et aussi, une image de la Belle et la brute : Michael Huntchence appuyé sur une moto. Les filles sur les photos se nomment girl one, ou girl two « on a bike ». Aussi sexy que leur moto ? Et enfin, Mickey Rourke, de nuit, violent éclairage qui crée une ombre gigantesque, contraste fort. Pas de nuance. De la bonne photo comme il y a de bons directs (en boxe)

A voir. Jusqu’au 29 janvier. Galerie Laurent Strouk.


 Dans la bataille des monnaies numériques souveraines, la Chine fait la course en tête

 

 

 

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