Soliloques juin 2014

- Kati Horna : les petits maîtres méritent toute notre attention

- Pizzi Cannella, par hasard

- Ramon Blas, poésie et photo

- L'art est moins brutal que la vie: Michel Nedjar

- Zou: l'art est arrivé parmi nous

Kati Horna : les petits maîtres méritent toute notre attention.

Je sais, je n’aurai pas dû poser pareil titre. C’est atrocement condescendant. Je me renvoie moi-même à la célèbre formule « la critique est facile… »

 

Pourtant, je n’ai pas un instant critiqué, blâmé, conspué l’œuvre, les œuvres de Kati Horna. Je n’ai pas insinué, en essayant de faire drôle, qu’il y a pas mal de clichés dans ses clichés.

Mais, que faire ? Tous les artistes ne sont pas les visionnaires qu’ils ne rêvaient peut-être pas de devenir. Tous les artistes ne sont pas grands. Il y a aussi la foule des « petits, les obscurs, les sans-grades » martelait Flambard. Ils ne méritent pas les « duchés » mais n’encourent aucun déshonneur. Ils ont accompli leur tâche de suiveurs, de passeurs, ils se sont mis dans la trace d’un ou de plusieurs « grands » et, par leur travail, ont mis en valeur les découvertes, les inventions de leurs héros.

Kati Horna fait partie de ces gens qui contribuent à faire descendre de nouvelles idées ou visions artistiques vers les couches respirables de l’atmosphère ; ils prennent un risque ces gens-là : on les mettra dans le wagon fourre-tout de ceux qui n’étaient pas là pour mener la bataille. Se vouloir romantique une fois qu’ « Hernani » est devenu un classique attire des remarques peu amènes. C’est une erreur et surtout, une vraie confusion sur l’invention de l’Art.

Les photos de Kati Horna sont très hongroises ce qui n’étonnera pas puisqu’elle en vient. On veut dire par là, qu’elles s’inscrivent dans le cadre d’une belle école et qu’elle en reproduit bien les leçons. Cadrages héroïques, simplicité qui s’affiche. Tout est calme même avec des soldats en perspective durant la guerre d’Espagne : la violence est sereine. Les guerriers prennent la pose à midi. Pendant la pause ? Il y a là, du photo-journalisme bien fait, de base, clair. La photographe ne cherche pas à énoncer son message sur la guerre, la politique, les « drames de notre temps ». Mais du coup, à rester au niveau de l’èvénement on se demande bien ce que ces photos ont de remarquables par rapport aux milliers de photos qui ont été prises par des dizaines de journalistes faisant leur boulot en Espagne.

Kati Horna a réalisé beaucoup de séries qui reposent sur beaucoup de bonnes idées, mais qui laissent souvent l’impression de « vite fait » qui verse vite dans un arrière-goût de « superficiel ». La série « ce qui va à la corbeille » est charmante, mais « bricolée ». L’application répétitive d’une idée sympathique ne fait pas un travail accompli. Une autre série, celle des poupées : hommage à Bellmer ? Pas très convaincante cette série qui a quelques bonnes photos mais exploite l’idée sans brio.

La collaboration avec son compagnon Horna, renvoie au surréalisme et donnera quelques jolies photographies. De même, Kati Horna livre des portraits sensibles, celle de Fernando Garcia Ponce par exemple.

Elle aura tenté d’exploiter la veine « surréaliste-SM », pas trop « Gore » cependant, sans beaucoup de conviction et pour tout dire sans résultat probant (nécrophilia).

Quant aux photos en couleurs prises en diapositive, elles sont surtout un aimable prétexte à du pictorialisme abstrait. Jolies couleurs. Sages Cadrages.

 

Kati Horna aura été une photographe plaisante et appliquée. Pourquoi l’exposer au Jeu de Paume ? Elle fait partie d’un mouvement. Ses voyages et spécialement son installation en Amérique Latine en font un témoin et un acteur d’un art qui se fait et de ses enjeux. Elle a fait passer des messages. Elle a interprété des partitions.

Dans ce contexte, pour approfondir la connaissance de l’histoire de la photo, l’exposition était intéressante.

 

Zou: l'art est arrivé parmi nous

Zou, le ciel sous nos pieds, Galerie l'Oeil du Prince, rue Cardinet.

 

C’est une exposition qui s’est achevée récemment. Comme souvent, j’ai fait confiance à un coup d’œil donné sur des tableaux exposés en vitrine. C’était bien. Curieux comme expression. Certaines peintures dérangent. Interpellent. Violentent. D’autres apaisent. Appellent à un regard serein. C’était ça. Cette toile dans la devanture, un arbre, stylisé, au pochoir m’a-t-on expliqué, noir, je crois, sombre sûrement, sur fond de ciel raturé, haché, strié, n’invoquait pas les fins de monde, les amours corrompus, les corps déchirés. Il invoquait la peinture. La création. Il parlait de l’art qu’on savoure. Ce qu’il montrait n’était pas inconnu, pas de surprises, un univers familier qu’on peut regarder sans autre arrière-pensée que : c’est bien.

C’est pourquoi je suis rentré. L’exposition sur le thème « le ciel sous nos pieds » en appelait à la poésie. Le catalogue interfaçait systématiquement, une reproduction de toile et un poème. De beaux poèmes. En tout cas ceux que j’aime, Prévert, Char, Hugo, Apollinaire. L’artiste se nomme lapidairement Zou. C’est une femme. Elle travaille dans l’esprit de cette école des papiers arrachés et recollés, des affiches lacérés et des collages multiples. Il y a aussi tout une série de toile où les collages sont pleins de matières, sable, colle, suie, salissures et coulures. Certaines toiles sont des surpeintures. Discrètes au sens où la photo se devine sous la peinture, il faut lire la toile, lui faire dire ce qu’elle cache. Ce qu’elle veut montrer en fait. Ce travail use souvent du fameux « principe de la lettre » d’Edgar Poe. Ailleurs des traces grises tranchent, ici, avec des ciels roses, là. Et toujours, souvent, ces arbres, au pochoir, qui se succèdent en lignes ou seuls, griffent des paysages de cendres, surgissent de brouillards dessinés à coups de craie et de peinture projetée en flocons.

Qu’est-ce que l’art ? Bizarre de se poser ce genre de question, en face d’œuvres qui ne prétendront jamais à porter « la création » au zénith des grands maîtres. Qu’est-ce que l’art quand l’artiste ne fait pas partie des Héros que chantera plus tard un lointain émule de Vasari, quand les « grandes questions » ne sont pas ni posées, ni traitées, ni même survolées. Qu’est-ce que l’art quand sous les yeux des regardeurs aucun Titan ne sombre, aucune idée du «beau en soi» ne vient menacer de ses foudres la petite historiette ou l’illustration ? N’y a-t-il d’art que dans les fureurs d’un héros créant ou dans les dénonciations d’une conscience torturée ? N’y a-t-il d’art que lorsque la rétine du regardeur est délicieusement chatouillée ? Pourquoi diable se poser des questions aussi sottes ? Il n’est que de de s’abîmer dans les œuvres de Fragonard, dans les courbes voluptueuses de Rubens et de s’extasier devant la « Maja Desnuda ». L’art c’est le beau ! Ne cherchez plus. Ecartez-vous de tous ces intellectuels torturés qui vont le chercher là où il n’est pas et laissez-vous bercer par les grandes futaies de Corot, ou, songeurs, rêvez en couleurs douces et apaisantes, Millet, Renoir, Monet ne provoqueront ni cauchemars, ni réveils en sursaut couvert de sueur, le cœur battant et l’esprit retourné. Monet ? Vous aimeriez ses nymphéas ? Ces peintures qui barbouillent des toiles immenses. Allons, vous dérapez ou alors… l’art c’est autre chose. Pas seulement le beau.

L’art, c’est une recherche, c’est là où il y a de l’Homme. C’est un univers aussi où ceux qui cherchent se retrouvent, se reprennent, s’apprennent et s’approfondissent. L’art est une société d’artistes, inventée pour créer, pour mettre en formes des réponses. Parmi eux, des visionnaires. Ils n’ont pas forcément apporté de réponses. Ils ont fait mieux : ils ont découvert des questions. Parmi eux, des suiveurs. C’est un mot déplaisant ? Allons ! Quand on dit que Masolino est le passeur de Masaccio, le mot prend une certaine noblesse et surtout une dimension singulière. Et puis, il y a ceux qui ont compris un discours, qui ont saisi la profondeur des questions, qui ont lu le travail des génies, qui ont compris de quoi ils discouraient. Ceux-là, font un travail d’implantation. Ils transforment en évidence ce qui était, quelques dizaines d’années auparavant, des audaces, voire des provocations ou des prises de risque insensées. Quittons le domaine de la peinture (il est dynamité !) pour entrer dans celui de la musique. Qui ne connait Haendel ? Qui connait Porpora ou Bonencini ? Entre celui qui donne à la musique baroque son éclat et ceux qui accompagnent le génie… et les concurrenceront  (de nos jours on dirait qu’ils le copiaient).

Zou fait partie de tous ceux-là qui achèvent de faire pénétrer dans l’esprit des regardeurs des idées révolutionnaires, d’avant-garde, des découvertes. Son travail sur la matière est prenant. Elle donne en collant sables, poussières, plâtres et encres à la fois une dimension très grave et terrienne à ses œuvres tout en les inscrivant dans l’espace, en posant que la peinture a droit, elle aussi à des reliefs, des mouvements de terrains et des sols ensablés. Travail dans la lignée de peintres tant français, qu’allemands ou américains des années 50. Travail qui insère ces inventions dans le quotidien, l’« habitus » de tous ceux qui aiment l’art, mais n’ont pas envie de participer à des combats. Ce serait alors qu’on dirait d’une œuvre qu’elle est belle ?

Pour faire de l’art, il faut des artistes. Pour faire passer l’art parmi les gens de tous les jours, les gens ordinaires, il faut aussi des artistes : les uns démolissent les habitudes, les autres rendent présentes les questions et les réponses, et les recherches. Car l’art c’est une recherche, parce que c’est là où il y a de l’homme.

Il aurait fallu citer les grands noms auxquels Zou renvoie, qu’elle rapproche des regardeurs, qu’elle leur offre en les rendant accessibles dans tous les sens du terme ? Ce n’est pas ce jeu-là qui m’intéresse. Il faut considérer le travail de Zou, le rechercher, le goûter et puis se sentir bien en sa compagnie.

 

Pizzi Cannella, par hasard

Rue Chapon, le hasard, me fait tomber sur un magnifique et très grand travail de Pizzi Cannella exposé par la Galerie Placido.

 

Le tableau se nomme l’Oro. Traces, comme toujours chez Pizzi Cannella, furtives, sur un fond très travaillé qui font hésiter sur le thème de l’œuvre: ce fond, est-il l’œuvre elle-même ou le moyen de mettre en valeur des griffures, des suggestions de formes, des esquisses de mouvements. Pizzi Cannella, est un peintre très « sophistiqué ». Chacune de ses toiles donne le sentiment, malgré leur aspect léger, intuitif, sans aspérité, d’avoir été l’objet d’une longue réflexion. Ce sont à chaque fois des idées qui se concrétisent, sur le temps, sur la fragilité du regard, sur l’importance des choses qui se dissolvent et donnent à voir des ombres et des transparences avant qu’elles aient disparues. En d’autres moments, c’est tout l’inverse, le temps pris à rebours, des émergences, silhouettes en gestation, inachevées, formes non identifiables échappant au brouillard ou à la terre partiellement. L’Oro est une très belle œuvre sombre et lumineuse tout à la fois, sur un fond brun noir, où se distinguent et se discernent des traces « or », des formes de colliers, des cercles, des traits dorés, réparties sur toute la surface de la toile. Comme des lucioles traverseraient un soir obscur, comme un coffre s’ouvrirait dans l’obscurité d’une chambre ou la pénombre d’un grenier sur des souvenirs d’or ou d'une mémoire ensoleillée.

 

En ce sens, L’Oro est bien représentatif du travail de l’artiste : en arrière-plan d’une peinture apaisée où les couleurs ne hurlent pas, où les formes et les personnages paraissent « taiseux », une certaine distance, une froideur qui donnent aux œuvres de l’artiste Italien tout son charme, comme si la toile, les pigments, les formes, se refusaient au regard, comme s’il fallait aller au-delà des brumes et des voiles, chercher l’idée, les références et les citations.

 

Sont associés à ce grand tableau de Pizzi Cannella, (et pourtant la galerie n’est pas grande) toute une série de grands tableaux d’origine diverses. Ceux qui m’ont intéressé, outre l’Oro de Pizzi : deux grandes toiles de José Bédia. A-plats simples, symbolismes des traits, formes esquissées, cet artiste cubain parle « humain » et offre de quoi méditer !

Ramon Blas, poêsie et photo

..A la galerie Vu, jusqu’au 21 juin

Commenter le travail de José Ramon Bas revient à débattre de la forme des nuages, des raisons de la fumée et des glissements de la transparence ! Que dire d’un homme qui fige les images, les souligne, les surligne, trace ou grave des graffitis, pose des couleurs improbables sur, autour, dans les photos qu’il utilise, qu’il prend, qu’il récupère. Que dire d’un homme animé d’une curieuse obsession : fixer les photos dans des blocs transparents et pesants qui d’un coup font basculer dans la fixité de la matière les grains de lumière saisis dans la photographie, comme les gouttes d’ambre peuvent saisir et figer des pollens, des fleurs, des insectes pour des millions d’années, pour l’éternité ?  

Ils disent que José Ramon est un photographe. Ce doit être vrai, puisqu’il est exposé chez Vu où on expose essentiellement des photos. Ils disent que «la preuve que c’est un photographe : il utilise des photos qu’il prend lui-même» et ça c’est très fort comme argument, sauf que ce n’est pas vrai car il lui arrive, plus souvent qu’à d’autres, de prendre les photos des autres. Comprenons-bien: il prend des photos lui-même et il prend des photos qu’il n’a pas prises. Il les prend où il les trouve.

C’est là où José Ramon Bas trompe son monde. Il laisse dire. Il les laisse dire qu’il est photographe alors que dans la vie de tous les jours il est plutôt photophile. Mieux, il se révèle un remarquable photophore, mais jamais vous ne le verrez dégringoler dans la posture du photoctone !

Car Ramon Bas n’est pas un contempteur, ni un tueur de photos. Il aime les photos qu’il a prises, il aime les photos des autres, il aime les photos, qui débordent des archives obsolètes. Photophile, l’image l’attire comme un aimant. Photophore, il la veut vivante, porteuse de lumière d’où qu’elle vienne. Photophile, il sait redonner aux photos qu’il trouve les couleurs de leur vie d’autrefois. Il n’hésite pas à faire les poubelles s’il peut y trouver des photos. Des photos de n’importe quoi. Dans la série qu’il expose, ce sont surtout des photos d’identités. De vieilles identités d’il y a 25, 30, 40 ans; des identités de gens qui n’existent plus ? Ce n’est pas sûr ! Pourtant,  ce qui n’existe pas ou plus ce sont des rêves, des enthousiasmes, des ambitions d’il y a 25, 30, 40 ans… Alors, ces photos seraient comme des traces de rêves, d’enthousiasme, d’ambition, des morceaux de passé, des cailloux blancs, pas nécessairement des éclats de verre brisés, que des jeunes gens pleins d’espoir ont laissé derrière eux.   

Ils disent qu’il est photographe ! Bien sûr que non ! Prendre des photos n’est pas du tout son sujet. D’abord on l’a dit, il est capable de prendre les photos des autres ! Mais aussi, quand il le fait lui-même on a l’impression d’un jeu. Il ne prend pas de photos, il rompt du temps pour que les images, quelles qu’elles soient ne se dissipent, ni ne se déchirent. C’est pourquoi, les blocs de résine transparente, ne sont pas des prisons à photos. C’est pourquoi ce qu’il saisit n’est pas de la photographie. Toujours des traces. Des moments qu’il faut sauvegarder. Peu importe la technique. Peu importent les conditions idéales de la prise d’image. Peu importe aussi l’appareil. Importe seulement le temps qu’il ne faut pas laisser passer, qu’il faut retenir. Importe d’endiguer ce flot et pour que rien ne soit effacé. C’est pourquoi aussi, loin de tout travail de photographie, il tient à souligner sur ces images ce qui lui parait important, ou le détail qu’il ne faut pas manquer de voir, ou le cadrage vrai qui sera reconstitué à coup de crayon, de gravure, de couteau peut-être aussi.

Ils disent qu’il est photographe ! Mais chacune de ses photos est un carnet de voyage, ce qu’il y griffonne prolonge le temps de la photo, l’inscrit dans le cours d’une histoire ou d’un voyage.

Ils disent qu’il est photographe. Je dirais que José Ramon Bas est surtout un poète.

L'art est moins brutal que la vie: Michel Nedjar

La galerie Christian Berst s’est orientée sur la présentation d’œuvres dites « art brut ». Le nom de ce mouvement lui a été donné par Dubuffet, grand découvreur, collectionneur et promoteur de cet art censé venir du plus profond de l’homme puisque conçu et produit par des malades atteints de troubles du comportement et cognitifs ou souffrant de graves désordres psychiatriques. Vivants enfermés en eux-mêmes, mais aussi enfermés dans des « maisons de fou », ils n’avaient pas vocation à être artistes. Ils ont trouvé dans la peinture et, essentiellement le dessin, un mode d’être, une compensation, une évasion.

Quelques lieux en France leur donnent leur véritable dimension artistique, la Maison-rouge et la galerie Christian Berst sont de ces lieux. L’exposition des œuvres de Michel Nedjar en est une manifestation. Toutefois, il faut aussitôt lancer un « warning » sur la vérité « Art Brut » de son travail.

De fait s’agit-il « d’Art Brut » au sens proposé ci-dessus ? Un très beau texte fourni par la Galerie dit l’essentiel de ce qu’il faut savoir sur cette question. Dans la réalité, Michel Nadjar, n’est ni un « fou », ni « un dérangé mental ».  Son œuvre se déploie dans le contexte bien particulier de l’horreur d’une famille juive anéantie pendant la guerre. Il ne cessera de dire cette horreur par tous les moyens, peinture, gravure, dessin, technique mixte et la confection de poupées horrifiques symboles de la monstruosité vécue par le peuple juif et qui massacra les siens.  Michel Nadjar qui rêvait de prendre la relève de son père, tailleur, n’a eu de cesse de confectionner ces anti-poupées.

 

Dubuffet, dit-on, reconnut la qualité du travail de Michel Nedjar. Il est vrai que certaines œuvres ont une étonnante parenté formelle et chromatique avec ce que Jean Dubuffet mettait en peinture. Qu’il se soit reconnu-là ne paraît pas surprenant. Tant de grimaces, de griffures, de figures torturées sont en commun avec une grande partie du travail de Dubuffet. L’œuvre de Michel Nedjar est l’exploration du Cri. Cri d’horreur. Cri de peur. Appels ou dénonciations. Déchirements, mutilations, mort.



 Dans la bataille des monnaies numériques souveraines, la Chine fait la course en tête

 

 

 

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