Soliloque sur l'Art, Octobre 2021

Annie et Joseph Albers Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris

 

 

Cela faisait si longtemps que je n’avais pas mis les pieds au MAM de Paris… Alors, vous pensez, dès que j’ai pu, j’ai foncé. Bon. J’ai vu une expo exceptionnelle. Des artistes allemands comme il y en a eu beaucoup qui ont fui l’Allemagne pour l’Amérique juste avant le début de la seconde guerre mondiale. C’est une exposition exceptionnelle car elle nous montre les œuvres d’un couple représentant de l’école « Gropius » le Bauhaus et son évolution.

 

Une fois ce caractère exceptionnel mis en avant, il faut aller vers les œuvres d’Annie et de Joseph Albers. Je ne peux pas dire que j’ai été passionné. Oui, on sent bien ce qu’il y a de Bauhaus dans leur travail (lui pour la peinture, elle pour la tapisserie), oui, on sent que l’un et l’autre étaient si proches que leurs œuvres se décalquent presque.

 

Mais, cela ne marche pas. Peut-être, ai-je trouvé délicatesse et humanité dans les œuvres tissées de Madame Albers. Bien souvent si proche des œuvres de son époux qu’on en vient à penser que ce dernier abonde en canevas pour elle. En revanche, le côté « recherche et développement » de ce dernier, son goût pour les carrés de couleur, pour ses études sur les combinaisons colorées, ne m’a pas convaincu un seul instant. (4000 carrés).

 

En faisant un effort, on peut extrapoler ce qui est si frappant chez Rothko, une aspiration à trouver un passage, à être un passeur dans l’esprit d’un « beyond the looking glass » ou dans l’esprit d’une recherche spirituelle, d’un chemin vers un ailleurs mystique.

 

Mais on éprouve aussi, une saute d’humeur, et on se dit qu’il est heureux que Malevitch se soit contenté de carré blanc sur fond noir et de carré blanc sur fond blanc !!!!

 

On comprend que je n’ai pas beaucoup vibré. Mais il faut aller voir les œuvres du couple Albers. C’est utile pour la connaissance de l’histoire de l’Art.

 

 

 

Artistes Romains chez BOA

Pizzi Canella

Gianni Dessi

GIUSEPPE GALLO

MARCO TIRELLI

NUNZIO DI STEFANO


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