Soliloque sur le vaste monde, juin 2025

L'intelligence artificielle est-elle la nouvelle religion

Bientôt, l'ile de Beauté pourra s'offrir un lifting

Notes brèves (pour une fois)

L'argent, parfois, sent le brûlé

L'intelligence artificielle est-elle la nouvelle religion

 

L’intelligence artificielle, quelque soit la marque, le flambeau ou l’acronyme, peut-elle aussi se faire farceuse. Ne serait-ce pas la preuve qu’elle est « intelligence » ?
Muni de ces quelques bouts de conviction, je me suis lancé dans cette quête hérétique qui consiste à faire de l’intelligence artificielle une sorte de fou du roi, ce personnage qui ridiculise tout pour que tout devienne, vrai, transparent et prenne consistance.


Alors, voilà, par provocation, j’ai rédigé ce prompt :

  • De Gaulle, les Français, l’agriculture. Poutine.

Voici ce qu’un site d’IA m’a proposé :

  • Le Général De Gaulle, dans un moment de déprime, aurait lâché : « Les Français sont des veaux !».

  • Si les Français peuvent être candidats à la ressemblance avec des bovins, que dire des Russes qui avalent sans mot dire, la soupe tyrannique de leur Tsar de droit obscur ?

  • Ce sont des moujiks à qui sont associés des sous-russes, des hypermoujiks, aborigènes des confins de la Sibérie.

Je suis sûr qu’aucun de mes lecteurs ne va croire que j'ai posé ces questions à l’intelligence artificielle avec ces résultats ; certains useront des ressources de leur intelligence naturelle pour dénoncer une supercherie.

Ou à un blasphème qui aurait pour suite naturelle un sacrilège.

Un fait récent, une réponse d’une IA à une question très simple, m’a fait toucher du doigt qu’elle peut être rancunière et vengeresse ( serait-elle femme ? ) Je l’interrogeai en termes très simples : « Qui est pascal ordonneau ? » (Écrit en lettre minuscule pour ne pas introduire de biais aristocratique) et j’obtins pour réponse ce commentaire dépréciatif : « Pascal Ordonneau est connu pour son goût du paradoxe et son approche non conventionnelle des idées et des conventions sociales ». Je me souvins qu’un de mes auteurs préférés, Gracian, disait « Si la sagesse est toute seule elle passera pour folie ». Serait-ce le sous-entendu des réponses de l’IA, manière pour elle de se venger de mes commentaires ?

Retournons plutôt à la vraie question que nous posions initialement « le blasphème » : qui dit blasphème dit religion. On rappellera comme il est facile de passer de l’IA à l’image biblique du veau d’or « qui est toujours debout et dont on encense la puissance d'un bout du monde à l'autre bout ! ». Ce n’est pas une vaine observation que de rappeler, alors qu’une partie du monde crève de faim, que des centaines de milliards de dollars se déversent chaque année pour donner à vivre à l’IA, pour que des milliers de gens puissent se gaver de datas, grosses et minuscules, concassées dans des calculateurs dont la puissance excède déjà ce qui fut nécessaire pour déclencher le « big bang ». Parce que c’est un instrument très universel et extrêmement coûteux, l’IA est légitime dans son appétit à se saisir de tout pour, sans vergogne, en faire n’importe quoi. Ce ne peut être qu’une manifestation nouvelle de l’Etre suprême : Le Chaos premier dieu, élément primordial- (wikipédia)

Et pourtant, par une loi de la nature qui échappe même à l’IA, à ce mouvement universel, s’opposent des dissidents voire des renégats : certains objectent maintenant que l’IA est loin d’apporter les dividendes attendus des milliards investis. Ils disent que l’universalité de l’IA est une supercherie promue par les puissants pour le seul bénéfice de leur impérialisme. Ces renégats, tels qu’ils sont dénoncés par les fidèles de l’IA, affirment qu’il y a des libertés au-delà de l’IA ! On annonce en effet que des IA particulières émergent sans être corrompues par des milliards de dollars. On dit qu’elles prendront la dimension de collectivités, d’entreprises, d’institutions sans prétention à l’universalité. On dit qu’elles se contenteront de nous épargner « les tâches odieuses ».
Gracian n’a-t-il pas recommandé : « Faire soi-même tout ce qui est agréable et par autrui tout ce qui est odieux ».

 

Notes brèves (pour une fois)

      Recommandation: Mission impossible

S’il m’arrive de recommander telle ou telle visite, tel ou tel film, c’est pour le bien de mes lecteurs. S’il m’arrive de prévenir ces derniers contre des spectacles, lectures ou autres. C’est pour le bien de leur porte-monnaie !
Donc, allons droit au moyen d’économiser de l’argent : surtout, n’allez pas voir, la dernière mouture de « Mission impossible », c’est un colossal navet qui n’est même pas sauvé par son côté « colossal ». Restez donc chez vous ! Sûrement, même à la télévision, il y aura quelque chose à voir !

 

Vol sans effraction: au Musée Guimet

Drôle de pays : voilà le musée Grévin agressé et délesté de la reproduction grandeur nature du Président de la République française. Plus directement : voilà un musée où on peut entrer sans se faire remarquer et se servir en statues, reproductions et autres objets. Ensuite, on quitte le musée avec son butin sans en être autrement inquiété. Imaginez simplement que dans la Russie poutinienne, une reproduction en taille réelle de Poutine soit dérobée. A coup sûr, le PDG du musée et son personnel de sécurité y gagneraient un billet aller pour la Sibérie. En France, le PDG du musée Guimet va faire le farceur sur les plateaux télés et s’amuser à supplier les Français de ne pas dérober la reproduction de Claude François. Quant à Green Peace qui a commis « la Farce », il n’y aura surement pas de poursuites. C’est pour le bien commun que le vol a été commis.
Conclusion : ne pas se gêner, l’endroit est ouvert à tous vents et en cas de vol, il vous suffira de parader pour ne pas être poursuivi. Ainsi, tout étant paisible, vous pourrez aller monnayer votre larcin sur n’importe quel marché.

 

Liberté, liberté chérie

Libérer les peuples opprimés n’est pas de tout repos. Il est vrai qu’avant de les libérer, il vaut mieux savoir s’ils sont vraiment opprimés. Par exemple, lorsque les chaines de la dictature communiste ont sauté, les opprimés se sont élevés comme un seul homme pour entonner des chants libérateurs ; pendant ce temps, d’autres opprimés se sont précipités sur les propriétés d’Etat pour les racheter à bas prix, en éliminant leurs concurrents par tous moyens, y compris, les coups de couteaux, les coups de feu, les chutes du 10ème étage et quelques empoisonnements ciblés. Finalement, ces opprimés-là ont bien profité de la libération politique. En somme, la liberté n’est pas une potion universelle, il faut la réserver à ceux qui en feront bon usage.
 

La lumière au bout du chemin

On ne peut pas ne pas être étonné de découvrir que dans certains pays « libérés » du joug et de l’oppression soviétique, l’unanimité ne règne pas quant aux bienfaits de la liberté. Etrangement, certains pays, par exemple la Hongrie et la Slovaquie qui s’étaient fait remarquer par leur lutte « contre le pouvoir soviétique » et qui en avaient souffert, se montrent assez réservés vis-à-vis des charmes attendus de leur libération. On les avait pourtant assurés que la lumière serait au bout du chemin. Aujourd’hui, ils interrogent : « Quel chemin ? ».
 

L’égalité est-elle vraiment pour chacun ?

La France est, c’est connu partout dans le monde, généreuse et empathique. C’est vrai à l’égard des pays les plus pauvres, mais c’est aussi vrai à l’égard de tous les pays avec lesquels elle a choisi de s’associer et même de se lier. Pourtant, il reste ici et là de vieux réflexes de grand frère qui regarde avec suspicion la montée en graine, en taille et en force de ceux qui le suivent. C’est ainsi qu’ayant découvert que le PIB de l’Italie par habitant avait rejoint celui de la France, certains commentaires journalistiques n’ont pas paru chaleureux. Disons les choses froidement : il n’est pas encore ancré dans les esprits que les pays européens, dans un terme aussi court que possible, présenteront tous des niveaux égaux de richesse et de bonheur. Cette antique formule « il y en a qui sont plus égaux que les autres » a encore de l’avenir !
 

« France, terre des armes… »

On n’ira pas plus loin dans la célèbre citation. Les armes ? En France, quand on entend le mot arme, c’est bien connu, on sort sa culture… c’est une mauvaise blague ? Que nenni ! A preuve ce plateau télé sur le thème de la Défense, et donc de l’armement, où un militaire de haut rang expliquait les nouvelles façons de communiquer des Armées françaises. Des vidéos sont construites pour montrer des avions qui pulvérisent d’autres avions, des chars qui foncent dans la campagne et qui écrabouillent « l’ennemi », des fantassins, hyper équipés de tout ce qui est à la mode, qui crapahutent etc. L’armée française souhaite se montrer comme une vraie armée moderne. Une armée qui se battra avec tous les moyens les plus sophistiqués. Tour de table. Une journaliste, approuve chaleureusement. Un grand reporter indique que tout ceci est très proche du véridique. Un intellectuel de je ne sais quelle obédience, prend le temps de réfléchir, de froncer les sourcils et de plonger son regard dans le fond insondable des atrocités guerrières des siècles passés. Il énonce alors très clairement qu’il n’aime pas ces exhibitions de muscles technologiques. Elles sont déplacées. Elles ne donnent pas une belle leçon de paix aux jeunes générations. « Ecartez donc ces armes que je ne saurais voir ». Un président de la République, voulant faire plaisir au peuple de Gauche, pacifiste et anti-militaire, qui l’avait élu, avait exigé que les armes et les canons soient dissimulées aux yeux du public lors d'une " fête à l'armement" quelconque.
« La guerre sans morts. Les baguettes pour boire le saké. » avait dit le Pseudo.

Bientôt, l'ile de Beauté pourra s'offrir un lifting

  

Est-ce le sous-produit d’une lâcheté collective ou celui d’une corruption souterraine des institutions ? Le fameux projet d’autonomie de la Corse continue son chemin à l’Assemblée. Les arguments qui conduisent nombre de politiques français à considérer qu’une autonomie laissée à la Corse ne serait pas autre chose qu’une politique de la porte ouverte aux mafias en tous genres qui y prospèrent depuis longtemps, le cèdent aux partis pris de type « droit de l’hommisme » qui marquent le paysage politique français depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Ils sont sur le point de l’emporter, à l’ancienneté, et dans l’indifférence générale. Pour dire les choses affreusement, la majeure partie des Français se moquent absolument de la Corse et l’opinion générale sur les corses nourrie d’opinions touristiques et de blagues idiotes, ne viendra jamais contrecarrer des projets dangereux en eux-mêmes, et pour les Corses, tout aussi bien, et pour la Corse finalement.

Il n’aurait pas été mauvais d’insister sur l’opinion d’un ancien préfet de Corse, qui, devant, l'Assemblée nationale indiquait que "le crime organisé imprègne l'intégralité de la société corse" y compris "les services de l'État". L’île est « au premier rang national » en termes d’homicides rapportés à la population. On n’insistera pas sur le fait que la mafia est très présente: trafic de drogue, spéculation foncière, blanchiment organisé, justifié et soutenu par des groupes indépendantistes d’opportunité plus que de conviction.

On peut se demander à quel point les politiques corses ont une attitude de dénégation ou, pire, de neutralité bienveillante à l’égard des dérives mafieuses qui minent la société corse ? Dans ces conditions, quel sens donner aux ambitions institutionnelles d’autonomie ? Telles qu’elles seront pratiquées, ne faut-il pas s’attendre à ce que l’autonomie, ne soit pas autre chose qu’une indépendance déguisée ? La seconde se déployant sous le voile lénifiant d’un statut d’opérette.

Ces questions conduisent plus généralement à celle-ci : et si le désir d’autonomie ou d’indépendance n’était pas pur ?

Il fut un temps où il était question de bonheur des peuples par la suppression des oppressions, coloniales, politiques, idéologiques, culturelles. Les désirs d’indépendance revêtaient la toge des grands philosophes, discouraient avec la passion des révolutionnaires français, s’incarnaient dans la praxis des partis uniques populaires et paysans.
Il est, aujourd’hui, un temps nouveau où de nouvelles formes d’exercice ou de centres de pouvoirs sont apparues.

Les mafias, en tous genres, ont pris une place et acquis une capacité à agir considérable. Dans le dernier quart de siècle leur puissance économique s’est développée de façon vertigineuse. Leur vulnérabilité s’est réduite grâce à la mise en place de véritables bases territoriales soit sous la forme de zones interdites aux pouvoirs des Etats, soit sous forme d’activités économiques officiels faisant office de « paravents ». Elles sont capables de renverser un pouvoir politique, de faire basculer une société entière dans l’anarchie la plus totale. Ce sont toujours les communautés les plus petites et les plus pauvres qui en subissent les conséquences les plus dramatiques.

Les recherches d’autonomie ou d’indépendance de petites collectivités n’ont manifestement plus rien de commun avec les purs combats contre l’oppression et pour la liberté. Elles sont menées et financées comme on aligne des millions pour créer un accès à un marché, éliminer des compétiteurs, récupérer un maximum de valeur ajoutée et, surtout, s’approprier un territoire et la souveraineté qui va avec !!!

Ces questions font litière de la vérité politique et de la force des mouvements d’opinion ? Les peuples se feraient manipuler ? L’argent serait roi ?
Un petit pays ou une petite collectivité ne peut être à l’abri des prédateurs privés ou publics lorsque son sous-sol regorge de ressources en pétrole et en gaz. De même que pourront des édiles « autonomes » face à la pression des « rois du tourisme », transformant la côte Corse en une muraille d’hôtels, de resorts et de casinos ? Que pourront-ils faire les héros de l’autonomie corse face aux manipulations de pays voyous trop ravis d'y trouver des oreilles complaisantes ? Soi-disant pour se protéger, l’ile de beauté ne se verra-t-elle pas fermement conseiller de requérir les compagnies de Wagner bien entrainées grâce au conflit ukrainien et au service des nouveaux pouvoirs africains, ou d’autres du même genre et animés des mêmes intentions…

Les désirs d’indépendance d’il y a cinquante ans, puissants et lyriques mouvements de libération des peuples, ne seraient donc plus aujourd’hui que le masque des mafias, de l’argent et du crime et des guerres souterraines ?

 

L'argent, parfois, sent le brûlé

 

 

 

A peine achevé, le pont construit par les Perses pour franchir le détroit de l’Hellespont, une tempête le détruisit. Furieux, le Roi des Rois, Xerxès, ordonna que l’on fouettât la mer pour son mauvais rôle.

 

Est-ce si original ? N’est-ce pas la politique du bouc émissaire ? N’est-ce pas surtout la manifestation d’un pouvoir qui cherche une victime expiatoire pour ses crimes ou, plus simplement, pour ses échecs. Cette politique a pu se traduire par des chasses à l’homme sous différentes formes, chasse aux juifs, chasse à l’aristocrate, chasse aux étrangers, aux ploutocrates etc.

 

La version « soft » de cette politique n’est plus « la chasse à une collectivité » mais à une institution, ou mieux encore à ses titulaires. Dans cette dernière catégorie, il faut porter l’attention sur le cas très typique des dirigeants, gouverneurs, présidents de banque Centrale.

 

On sait que ces gens-là sont détenteurs d’un pouvoir exceptionnel et redouté ! Disons-le directement : les gens de l’argent n’ont jamais été sympathiques aux peuples et encore moins aux souverains et hommes politiques en tous genres : témoin, le sort malheureux des Jacques de Molay, John Law et Jacques Cœur.

 

Ces temps-là, ces mœurs politiques du passé, ne sont pas totalement révolus : les souverains, les dictateurs et toutes les sortes de présidents s’intéressent toujours à la monnaie et à ses gardiens, les responsables des banques centrales.

S’y intéresseraient-ils un peu trop ? La plupart des systèmes politiques qui se revendiquent de la démocratie l’ont compris et ajouté aux célèbres trois pouvoirs, un quatrième, celui de la monnaie : en général, ils font en sorte que le banquier central soit indépendant de l’exécutif, en particulier, et de tous pouvoirs en général.

 

Bien sûr, les « exécutifs » démocratiques ne s’attendent plus à ce que le « gouverneur de la banque centrale » produisent de la monnaie directement ! Ce qu’ils auraient tendance à exiger, c’est que les responsables centraux de la banque et de la finance fassent baisser ou monter les taux d’intérêt selon leurs souhaits.

 

Leurs raisons sont simples, la baisse des taux d’intérêts ne peut que profiter à l’économie et à ses agents : si les taux baissent, les crédits coûtent moins chers, les particuliers peuvent donc emprunter dans de meilleures conditions, dans le même temps, la rémunération de leur épargne baissant, ils sont incités à la réduire et donc à augmenter leur consommation, en conclusion, l’économie est irriguée des flux positifs de la consommation et de l’investissement. Tout ira donc mieux dans un futur très proche. Pour les entreprises, on sent bien tous les mérites qu’elles peuvent attribuer à une baisse des taux d’intérêts, outre le fait que la demande s’accroit comme on vient de le montrer, le coût des investissements diminue en raison de la réduction des taux, etc etc…

 

On déduit aisément qu'un gouverneur de banque centrale qui s’obstine à maintenir les taux d’intérêts à un niveau déplaisant pour leurs souverains et présidents s’expose à leur hostilité rampante ou ouverte.

 

Tous les dirigeants de banques centrales ne sont pas des abrutis malfaisants et ineptes qu’une presse partisane voudrait dénoncer : la présidente de la BCE n’est-elle pas accusée de baisser les taux trop lentement ? D’aucuns pensent qu’elle devrait les monter ! C’est ça la démocratie !

En revanche, on ressent une violente hostilité à la chose monétaire chez M. Erdogan : la banque centrale turque a connu une succession de cinq dirigeants au cours des cinq dernières années. La cause de cette valse de dirigeant monétaire ? Ils se refusent à obtempérer aux exigences du président turc au nom d’une rationalité économique dont ils s’estiment être les garants. Un autre exemple ? Donald Trump fait tout ce qu’il peut pour « sortir » le Président de la FED, Jérôme Powell. De quoi est-il coupable ? Les taux, encore les taux ! qu’il devrait baisser pour complaire au Président.

 

C’est dire que partout où la tendance est à l’instauration de pouvoirs exécutifs « forts » voire autoritaires, leurs rapports avec les responsables de la monnaie de leurs pays deviennent progressivement exécrables. S’ensuivent leur éviction ou des tentatives d’éviction.

 

Ce n'est pas comme en Russie : le gouverneur de la banque centrale de « toutes les Russies », sur l’aimable recommandation du Président de « toutes les Russies », vient de faire passer les taux d’intérêts à 20% au lieu de 21% ! Toutes les démocraties ne se ressemblent pas !


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