Theresa Möller, où mènent les sentiers

Quand tout est triste. Quand les journées ensoleillées ne montrent que leurs ombres sinistres, est-ce le temps du retour à la couleur ? Quand tout paraît se disloquer, se dissoudre, et disparaître dans le gris et le sombre, dans l’effondrement et l’éclatement, l’art est-il capable d’entrer en résistance ? C’est la première fois que je rédige une chronique sur un artiste sans avoir pu voir ses œuvres… La nuit du covid avait dissimulé les couleurs de Theresa.

J’aime, aujourd’hui, en montrer le travail et aussi, par le fait du hasard, une sorte de télescopage générationnel et conceptuel avec Anselm Kiefer. Le titre de l’exposition est en lui-même un merveilleux clin d’œil fait à l’œuvre de ce dernier : partageraient-ils, malgré leurs différences de fond, une même révérence à Heidegger : « Les chemins qui ne mènent nulle part » ?

 

Il faudrait alors regarder attentivement le travail de Théresa Möller.

 

 

 Dans la bataille des monnaies numériques souveraines, la Chine fait la course en tête

 

 

 

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